ARCCIS : Association pour le rayonnement de la culture cistercienne

Aller au contenu. | Aller à la navigation

Outils personnels

Menu

Résultats de recherche

Il y a 86 éléments qui correspondent à vos termes de recherche.
Filtrer les résultats
Type d'élément






Éléments créés depuis



Trier par pertinence · date (le plus récent en premier) · alphabétiquement

Frère Christian de Chergé ou Les quatre saisons de la vie d’un moine, missionnaire de l’amitié

Marie-Benoît BERNARD, ocso (Collectanea Cisterciensia N°80-2018). Voici une histoire, une belle histoire simple et vraie que vous connaissez déjà. Vaut-il la peine alors que vous la lisiez, ou relisiez ? Oui, je crois, car dans mon histoire, celle de Père Christian de Chergé et de ses compagnons martyrs, j’ai mis en évidence le charisme de Tibhirine. On a beaucoup parlé (et on parle encore) de l’esprit de Tibhirine ; il me semble que l’on peut aussi évoquer le charisme de Tibhirine qui est, selon moi, plus qu’un état d’esprit, car le charisme est un don de l’Esprit (avec un grand E), il est donc un témoignage de vie. Le charisme de Tibhirine, c’est une vie missionnaire de l’amitié. C’est avec Père Christian que ce charisme prit naissance, puis qu’il grandit avec la communauté de Tibhirine lorsqu’elle sera sous son autorité. Père Christian, prieur de Tibhirine, fut en ce sens un moine charismatique du XXe siècle. Mais, pour le devenir, pour être cet homme à l’écoute de l’Esprit, Christian dut traverser le temps, traverser la vie et ses épreuves. C’est le prix à payer pour être transformé du dedans par la grâce, entrer dans un chemin de transformation du cœur, dans la joie et l’espérance.

Rattaché à Publications-Réalisations / Derniers articles

L'accompagnement spirituel dans la tradition cistercienne (I)

John Eudes BAMBERGER - L’accompagnement spirituel implique des domaines aussi divers et vastes que la vie elle-même, à la fois divine et humaine. Le sujet en étant la personne humaine en toutes ses composantes, l’accompagnement ne s’intéresse pas seulement à tel ou tel aspect de la vie privée, ou à quelque niveau précis de son expérience.

Rattaché à Publications-Réalisations / Derniers articles

L'accompagnement spirituel dans la tradition cistercienne (IV) - L'amour et ses transformations

John Eudes BAMBERGER, ocso - 66, 2004. « Laissez-vous transformer par le renouvellement de votre intelligence, pour discerner quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bien, ce qui lui est agréable, ce qui est parfait » (Rm 12, 2). Paul présente le discernement comme un processus de transformation de la pensée et de l’esprit (noûs). Implicitement, l’apôtre affirme que le discernement requis pour le plein accomplissement de la volonté de Dieu, n’est possible qu’à travers une restructuration de notre vie intérieure, restructuration à ce point globale qu’elle est une «métamorphose ».

Rattaché à Publications-Réalisations / Derniers articles

L'accompagnement spirituel dans la tradition cistercienne (II)

John Eudes BAMBERGER - Dès ses débuts, la spiritualité monastique fut conçue comme un processus de transformation : elle est par nature dynamique et non statique. Dès les premiers pas d’un candidat dans la communauté, le souci de la formation monastique est à proprement parler celui de la «métamorphose» décrite par Paul.

Rattaché à Publications-Réalisations / Derniers articles

L'accompagnement spirituel dans la tradition cistercienne (III) - Discernement

Le discernement des esprits, à travers ses multiples opérations, constitue la pierre angulaire de l’accompagnement spirituel. La familiarité avec le thème du discernement et les modes d’action de la vertu de discrétion, s’avère donc être une exigence fondamentale pour une réflexion dans ce domaine.

Rattaché à Publications-Réalisations / Derniers articles

L'amitié chez Aelred et Augustin, une grâce de Dieu

Saint Augustin a beaucoup marqué et influencé les Pères cisterciens. Mais il les a marqués avec des différences de degrés, avec plus ou moins de force, selon la personnalité de chacun, son expérience de conversion et de vie monastique, sa quête personnelle de Dieu, de vérité, sa soif, son désir de Dieu, d’aimer et d’être aimé. Aelred a été influencé par Les Confessions, et il a conçu sa doctrine de l’amitié spirituelle, entre autres, d’après les expériences de l’amitié et de l’amour d’Augustin, car ces expériences faisaient écho aux siennes.

Rattaché à Publications-Réalisations / Derniers articles

L'amour pour le Christ chez saint Bernard

Guerric AERDEN - En 1144, Pierre le Vénérable, abbé de la puissante abbaye de Cluny, écrivait à Bernard : « Vous avez été donné d’une façon prodigieuse à notre temps pour y être une lumière par la parole et l’exemple, non seulement pour les moines mais pour toute l’Église latine» (lettre 111)... Guerric AERDEN, ocso, Collectanea, 65 (2003)

Rattaché à Publications-Réalisations / Derniers articles

L'anthropologie volontariste de Bernard de Clairvaux

Damien BOQUET - Le libre arbitre comme image de Dieu - "Le libre arbitre semble être rabaissé au rang de simple illusion, comme si Bernard voulait commencer par dégriser son lecteur. Or, à quoi sert-il de disserter sur la nature du libre arbitre, s’il n’est qu’un fantasme ?

Rattaché à Publications-Réalisations / Derniers articles

L’accès au Christ selon la règle de saint Benoît

Aquinata BÖCKMANN, osb (Collectanea Cisterciensia N°68-2006). "Sous la conduite de l’Évangile, avançons dans ses chemins." En disant cela au Prologue 21, Benoît parle de la Bible entière, comme le montre la Règle elle-même. D’autre part, le Christ est le résumé de l’Évangile. Et ce verset 21 du Prologue correspond à une phrase qu’on lira à la fin de la Règle: "Ne préférer absolument rien au Christ pour qu’il nous mène tous ensemble à la Vie éternelle" (72, 11-12). La RB veut nous apprendre à avancer ensemble sur un même chemin, sous la conduite du Christ. On peut donc commencer cette analyse par l’hypothèse que l’accès au Christ se fait en partant de la vie concrète.

Rattaché à Publications-Réalisations / Derniers articles

L’anachorèse au cours des temps (1)

Christophe VUILLAUME, osb (Collectanea Cisterciensia N°78-2016). Le sujet que nous abordons ici nous concerne directement pour deux raisons connexes. D’abord parce que, par notre vocation baptismale de fils et filles de Dieu, nous sommes appelés, nous sommes faits pour vivre en communion avec Dieu, avec nous-mêmes, avec les autres et même avec le cosmos. Ensuite, parce que les sciences humaines nous ont mieux fait saisir ce que toute la Révélation biblique affirmait déjà : l’homme ne devient lui-même qu’à l’intérieur d’une relation, en "société".

Rattaché à Publications-Réalisations / Derniers articles