ARCCIS : Association pour le rayonnement de la culture cistercienne

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Le combat spirituel. "Je ne suis pas venu apporter la paix mais le glaive" (3)

Adalberto PIOVANO, osb (Collectanea Cisterciensia N°78-2016). D’après ce que nous avons dit jusqu’ici, il est évident que, pour la tradition monastique, l’ascèse, dans sa relation au corps et au cœur, est profondément orientée vers une pleine maturité spirituelle. Grâce à un exercice discipliné de toutes les composantes de la personnalité, se réalise cet état existentiel qu’est la vigilance. C’est justement la vigilance (le fruit d’une ascèse du cœur et du corps) qui permet de préserver sa vie de ces réalités ambiguës qui s’en prennent à nos désirs les plus authentiques (les pensées, logismoi) et qui favorisent cette idolâtrie de soi qui est la racine de tout péché.

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Au seuil du cloître. Les convers dans l’Europe occidentale et méditerranéenne (Journée d'étude)

Après avoir surtout désigné, par opposition aux oblats, des moines entrés à l’âge adulte au monastère dans le contexte du monachisme bénédictin alto-médiéval, le terme de conversus, à partir du XIe siècle, s’applique à une réalité nouvelle qu’il est aujourd’hui difficile de saisir. Ces conversi du XIe siècle ont souvent été présentés comme des laïcs vivant dans la dépendance d’un établissement afin de décharger les moines de chœur des travaux agricoles et manuels. En réalité, le statut des convers est d’une grande variabilité en fonction des lieux, des époques et des ordres religieux. Alors que cette diversité rend difficile une approche scientifique, les journées « Au seuil du cloître » ambitionnent de faire dialoguer des historiens venus de champs disciplinaires variés – spécialistes de l’économie rurale, du monachisme, de l’hagiographie, etc. – pour envisager à nouveaux frais le rôle d’intermédiaire entre le cloître et le siècle que paraissent avoir joué les convers au Moyen Âge central.

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