ARCCIS : Association pour le rayonnement de la culture cistercienne

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La liturgie formatrice du moine (2)

Dom Marie-Gérard DUBOIS, ocso (Collectanea Cisterciensia N°69-2007). Le moine est un croyant qui cherche Dieu, comme tout croyant devrait le faire, dans la foi, l’espérance et la charité, recherche qui se concrétise dans la prière et dans l’ensemble de la vie spirituelle. En quoi la liturgie m’aide-t-elle et me forme-t-elle dans cette perspective?

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La liturgie formatrice du moine (3)

Dom Marie-Gérard DUBOIS, ocso (Collectanea Cisterciensia N°69-2007). Pour Jacques et Raïssa Maritain, tous sont appelés à une certaine contemplation infuse, c’est-à-dire à vivre sous la mouvance des dons de l’Esprit-Saint, contemplation qui peut prendre différentes formes, parfois masquées ou diffuses.

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La mystique christocentrique et nuptiale de saint Bernard dans les sermons sur le Cantique

Raffaele FASSETTA, ocso (Collectanea Cisterciensia N°75-2013). En ce qui concerne la christologie, Bernard n’est pas novateur sur le plan de la doctrine. Il reçoit paisiblement la foi de l’Église concernant l’être du Christ, à la fois vrai Dieu et vrai homme : le mystère des deux natures dans l’unique Personne divine du Verbe. Son originalité se situe à un autre niveau. Ce qui lui importe, c’est de savoir ce que le Christ est pour nous (pro nobis), et le savoir d’une connaissance vivante, savoureuse, qui engage le cœur. Pour Bernard, ce qui compte avant tout, c’est l’amour.

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La mystique christocentrique de Béatrice de Nazareth

Avant d’aborder les Sept manières d’amour, il est utile de faire la connaissance de son auteur, Béatrice de Nazareth, et du contexte de sa vie. Nous abordons ainsi un des sommets de l’histoire spirituelle de l’Europe du XIIe et du début du XIIIe siècle. Inutile ici de songer à des grands faits d’armes ni à des décisions politiques radicales. Nous nous concentrerons sur la vie spirituelle à cette époque. Dans quel climat religieux Béatrice de Nazareth a-t-elle été éduquée ?

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La transparence de l’absolu. Frère Luc, moine martyr de Tibhirine

Thomas GEORGEON, ocso (Collectanea Cisterciensia N°69-2007). "Pour aborder la mort, il faut non pas beaucoup de courage mais beaucoup d’humilité." Cette phrase de frère Luc semble bien résumer ce que fut son itinéraire spirituel. Peut-être paraîtra-t-il curieux d’aborder frère Luc par la "face nord" de sa vie, celle qui conduit vers les sommets de l’éternité, de traiter de la vieillesse et de l’approche de la mort, mais ses écrits tracent un cheminement pascal, laissant transparaître son attente du jour du Seigneur, cette transparence de l’absolu...

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La tunique sans couture -Symbole de l'unité de l'Eglise

La tunique sans couture de Jésus, tirée au sort pour ne pas être déchirée, a été regardée comme un symbole de l’unité de l’Église. À l’origine de cette tradition se trouve, bien sûr, l’évangile johannique ; puis certains Pères de l’Église ont interprété de cette manière l’épisode relaté par saint Jean ; enfin saint Bernard s’en est servi dans plusieurs de ses écrits.

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La Vierge Marie, maison où la Sagesse se repose

Domenico PEZZINI, (Collectanea Cisterciensia N°74-2012). Une lecture des sermons d'Isaac de l’Étoile pour la fête de l'Assomption. Cet article est le deuxième volet d’un triptyque qui a l’Assomption de la Vierge Marie comme sujet selon les versions qu’en ont données dans leurs sermons trois auteurs cisterciens: Aelred de Rievaulx, Isaac de l’Étoile et Guerric d’Igny. Par version, j’entends la façon dont chacun de ces auteurs bâtit son sermon: le texte biblique qu’il choisit de commenter et la manière dont il organise son commentaire.

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Le "repos" cistercien d'après le bienheureux Guerric d'Igny

Soeur Maria Magdalena AUST, ocso (Collectanea Cisterciensia N°69-2007). « En tout j’ai cherché le repos, même dans le travail » 1. Marie, notre modèle a « choisi la meilleure part » L’Assomption de Marie est la fête patronale de notre Ordre, donc notre plus grande fête. Pourquoi ? Nous voyons notre but en Marie, la première rachetée pleinement, accueillie au ciel en son âme et en son corps. En elle nous pouvons découvrir vers où doit tendre toute notre vie...

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Le combat spirituel. "Je ne suis pas venu apporter la paix mais le glaive" (1)

Adalberto PIOVANO, osb (Collectanea Cisterciensia N°78-2016). Il n’est certes pas facile de réfléchir sur un thème comme le combat spirituel et d’essayer de le proposer aux croyants d’aujourd’hui; on éprouve comme un malaise quand on aborde un aspect de l’expérience chrétienne qui utilise un langage aussi éloigné d’un certain climat spirituel qui caractérise bien des niveaux de notre contexte ecclésial actuel. D’où provient ce malaise? Pourquoi cette suspicion devant un thème comme celui-ci ? Une représentation "dramatique" de la vie spirituelle peut-elle encore trouver place dans un christianisme enthousiaste et un peu idéologique? Brièvement, nous pouvons identifier quelques causes de ce malaise; elles mettent en évidence, à contre-jour, l’importance et la nécessité de refonder un certain langage relatif à la vie spirituelle par un retour à sa matrice biblico-patristique.

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Le combat spirituel. "Je ne suis pas venu apporter la paix mais le glaive" (2)

Adalberto PIOVANO, osb (Collectanea Cisterciensia N°78-2016). La profondeur du lieu où se déroule cette lutte, le cœur, et la totalité des forces qu’elle implique permettent à "l’ennemi" de cacher sa dangerosité sous un écran d’ambiguïté : il agit de façon sournoise, pénétrant avec beaucoup de précaution et de circonspection, ce qui rend difficile le discernement. Pour cela, il se revêt toujours d’une apparence de vérité, de bonté, de beauté, de fascination, pour cacher son mensonge radical. "Accroupi à la porte" du cœur, il réussit à se dissimuler dans ses replis les plus cachés, pour se présenter à nouveau au moment opportun.

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